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Parfaite illustration du génie et du travail des hommes depuis le IXème siècle, l’église renferme des trésors qu’il nous faut protéger. L’histoire de ce monument est indissociable de celle de la Baronnie des « La Tour d’Auvergne ».
© Eglise Sainte-Anne de La Tour d'Auvergne - Mairie de La Tour d'Auvergne
34%
Définition des montants
Cet édifice classé aux Monuments Historiques en 1918, a été sauvé du désastre par un gros programme de travaux réalisé entre 1983 et 1995. Il s’agit désormais de mettre en œuvre les conclusions d’une étude de restauration et mise en valeur du monument et particulièrement le clocher, les parements extérieurs et le chevet de l’église. Le projet comprend 4 points de restauration :
1918
Décembre 2018
1983-1995
Le nom de La Tour-d'Auvergne est connu dans toute la France, grâce à la maison de La Tour d'Auvergne et à ses membres illustres. En 1389, le mariage de Bertrand IV ou VI de La Tour d'Olliergues et de Marie d'Auvergne dite « de Boulogne » fait entrer la baronnie de La Tour dans la maison d'Auvergne. L'apport de ce mariage est inestimable en matière de possessions et de renommée. Les barons de La Tour deviennent les barons « de La Tour d'Auvergne, comtes d'Auvergne et de Boulogne ». Par la suite, le fils de Bertrand VI, Jean IV, n'engendre que des filles, qui se partagent la succession paternelle. L'une d'elles, Madeleine de la Tour d'Auvergne se marie en 1518 avec Laurent II de Médicis, duc d'Urbino. L'enfant de cette union, la grande Catherine de Médicis, sera épouse de roi et mère de trois souverains du royaume.
Le projet est porté par la commune de la Tour d’Auvergne. Il s’agit de restaurer un édifice majeur de l’histoire auvergnate et donc de perpétuer l’héritage historique et touristique.
Commune de La Tour-d'Auvergne
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