Le projet : restaurer le clos et le couvert
La chapelle Notre Dame d'Orient présente aujourd'hui un certain nombre de désordres, dont l'état s'aggrave progressivement. Les travaux concernent essentiellement le clos et le couvert, tant au niveau de la structure qu'au niveau des parements et de l'aspect général. Il est prévu de commencer par la réfection de la toiture et de sa sous-face, puis de restaurer la structure porteuse en béton, et de restituer la croix formant "clocher".
Le lieu et son histoire : une architecture moderne
L'histoire de la chapelle est intimement liée à la Tour Malakoff, qui jouxte l'édifice. Cette tour a été érigée en hommage à la Vierge Marie pour la remercier de sa bienveillance envers les combattants de Sermizelles revenus vivants de Crimée. Devant l’importance du nombre de pèlerins, une nouvelle chapelle fut édifiée à proximité à la fin des années 1950.
Le 3 juin 1958, une chapelle d'architecture moderne voit le jour, et fut bénie par l'abbé de la Pierre-qui-Vire, Dom Denis Huerres, un siècle exactement après l'édification de la tour Malakoff. La chapelle est construite en béton et pierres, dont une partie provient de maisons en ruine de Tharot et Girolles. Les vitraux sont l’œuvre de Marc Hénard, également maître-verrier.
La mobilisation : deux associations engagées pour valoriser la chapelle
Malgré les subventions obtenues, le restant à charge reste conséquent pour l'association diocésaine de Sens et l'association Notre Dame d'Orient à l'origine de ce projet.
Le programme de restauration de la chapelle vise à préserver ce patrimoine, et les associations partenaires ont décidé de lancer un appel à la générosité afin de permettre à chacun de participer à ce projet de sauvegarde.
Les partenaires
Association Notre Dame d'Orient