Le projet : restaurer la chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle – un édifice du XVe siècle à préserver
Édifiée en 1466 puis agrandie en 1745, cette chapelle témoigne de l’histoire hospitalière et religieuse de la ville.
Aujourd’hui, sa charpente et sa toiture en lauze, datant de 1875, présentent de graves signes de dégradation, menaçant la sécurité publique. Les vitraux du XIXe siècle nécessitent également une intervention pour assurer leur conservation.
Le projet prévoit la réfection complète de la couverture et de la charpente, la restauration des couronnements en pierre et des vitraux. Grâce à vos dons, nous pourrons préserver cet édifice emblématique pour les générations futures et renforcer l’attractivité culturelle et touristique d’Herment.
- 1466
Construction de la chapelle par le chanoine Jean Robert pour répondre aux besoins de l’hôpital local.
- 1745
Agrandissement avec les ruines d’anciennes chapelles.
- 1832
Reconstruction après un incendie.
- 1875
Réalisation de la charpente et de la couverture en lauzes.
- 1995
Dernière grande restauration, portant sur les façades.
Le lieu et son histoire : un témoin de l’histoire hospitalière et religieuse d’Herment
En 1466, le chanoine Jean Robert fit ériger la chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle pour répondre aux besoins de l’hôpital local. Agrandie en 1745 avec les ruines d’anciennes chapelles, elle fut reconstruite après l’incendie de 1832. Dernière grande restauration : 1995 pour ses façades.
Située à la limite nord de l’enceinte médiévale, elle ouvre sur le périmètre protégé de la promenade des murs et se trouve dans le périmètre de protection de la collégiale Notre-Dame, classée monument historique.
À proximité, les visiteurs peuvent découvrir la fontaine médiévale, la maison d’Ambroise Tardieu ou encore les paysages volcaniques d’Auvergne.
La mobilisation : une mobilisation communale pour un patrimoine vivant
Porté par la commune d’Herment, le projet bénéficie de l’engagement du maire, de ses élus et de la population. Les travaux mobiliseront des artisans locaux, notamment pour la charpente et les vitraux, avec un souci de développement durable : réemploi des lauzes et des pierres, utilisation de bois local certifié PEFC.
Après restauration, la chapelle restera ouverte à la visite et au culte, intégrée à un parcours patrimonial reliant collégiale, fontaine et maisons anciennes. Des animations, visites et partenariats culturels renforceront son rôle dans la vie locale.
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